Tu es auteur amateur ? Tu connais le “Internet” ? Alors… rempli ce sondage qu’il est beau et te fera réfléchir sur ta condition.
Allez ! Vas-y ou je te tape !!
Tu es auteur amateur ? Tu connais le “Internet” ? Alors… rempli ce sondage qu’il est beau et te fera réfléchir sur ta condition.
Allez ! Vas-y ou je te tape !!
Il y a un autre moyen pour utiliser l’Internet comme outil à l’édition : c’est le « buzz ». L’occasion d’attirer l’attention de quelques éditeurs. Car les rares qui prennent encore le risque de lancer de nouveaux auteurs francophones (soyons claire : acheter les droits de traduction de n’importe quelle bouse américaine est plus rentable pour eux…), le feront d’autant plus facilement si celui-ci à déjà des fans, fussent-ils virtuels (je sais, c’est triste de devoir être « connu » pour se faire connaître, mais c’est le paradigme du XXIe siècle… Si t’es pas ami avec Google… t’existe pas…) [insert – tient d’ailleurs, je viens d’avoir un flash là, superbe idée pour une petite nouvelle 😉 ]
Et là, faire du buzz, ça c’est un challenge pour moi… Parce que je suis plutôt de la tribu des « pas d’amis », tendance asociale, ascendant « j’ai pas allumé la télé depuis deux ans » (ben oui… J’écris! Et je ne suis pas dans la rue pour réclamer la retraite à 45 ans, mon emploi du temps de 13h de boulot par jour ne me le permet pas…) Je me tourne donc vers vous :
J’ai besoin de votes… Comme un politicien… Il y a en ce moment un casting qui dure sur 15 semaines. À la clef : l’édition d’un roman. La condition ? Faire du buzz ! Pas juste être premier (enfin, allez voter tout de même, tous les jours s’il le faut 😉 ), mais aussi montrer que vous existez : Faites des liens sur mon blog, sur le site du casting, des commentaires, du face book, du myspace, de la radio, du rap, de la télé, des claquettes, des pétitions, des actions pédagogiques pour la défense de la langue française, un rallye de soutien, des barbecues, un comité « défense du petit frère franco-ontarien d’adoption » et si vous êtes français : des manifestations (On veut lire du Kanata ! On veut lire du Kanata !)… Bref, faites tout ce que je ne ferais pas, parce que trop occupé à écrire 😛
Les mœurs évoluent, on ne dit plus « manuscrit », mais « tapuscrit » (essayez donc d’envoyer quelque chose écrit à la main à un éditeur pour voir…) Et l’arrivée en force du numérique change aussi la donne de l’impression. On peut maintenant faire tirer un ouvrage à 10-20-30-50 exemplaires, le tout en ligne, en soumettant son texte Word ou PDF à des sites comme www.jepublie.com ou www.lulu.com.
Sans parler, bien sûr, des formats totalement digitaux type eBook, qui font purement et simplement fi de l’impression papier. Il y a des dizaines de sites sur la toile pour créer et diffuser son ebook, du type www.ebook-diffusion.com, ou des monstres anglophones comme www.smashwords.com, même Apple s’y est mis avec son iBookStore (si vous faites l’effort de faire une demande ISBN pour votre œuvre par vous même).
Je suis un geek, faire un clic droit sur ma souris et « enregistrer sous… PDF », je sais faire, uploader un fichier sur un site, aussi… Pas vraiment un challenge.
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