Deux retours hier, avec “Les Éditions Belfond” et “Oh! Éditions“. On sent une légère différence dans le ton des retours (jugez vous-même en cliquant les liens ci-devant). Des maisons plus sobres, moins industrielles. Rien de personnalisé, mais une touche un brin différente, plus orientée “livre” et “aventure éditoriale”.

Bon, je n’ai pas touché le fond de mon côté, mais tout de même, il faut bien le reconnaître, ma liste d’éditeurs se rétrécit comme peau de chagrin et arrive au bout, elle… Les deux manuscrits repartent de suite vers “Le passage Éditions” et “Atalante”. Après cela, il me reste trois éditeurs classiques, ensuite on aborde les eaux de la micro-édition / édition numérique. Rien de mal de ce côté, au contraire, il y a des structures intéressantes chez qui je m’approvisionne en littérature francophone et que je suis au travers de certains blogs et forums.

Sachant que:

  • L’édition d’un premier roman est de l’ordre de 0 en retour sur investissement (il faut être réaliste jeune padawan, tu ne deviendras pas riche en écrivant), et ce quelle que soit la structure d’édition.
  • L’intérêt majeur d’une édition classique est donc “l’exposition” pour un éventuel rebond sur d’autres écrits.
  • Côté micro-édition, il y a honnêtement peu de choses dans le domaine de l’exposition que je ne sois pas capable de faire par moi-même… (Blogs, forums, Internet, FB, salons spécialisés…)

De vraies questions de fond se posent :

  1. Intérêt de passer par la filière micro-édition vs. relever ses manches et le faire soi-même ?
  2. Avec une vision économique nulle, pourquoi ne pas simplement mettre à disposition gratuitement ?

Avec des embryons d’éléments de réponses :

  1. Tic toc, tic toc… le Temps (ou plutôt le manque de…) est mon ennemi n°1.
  2. La qualité (même en gratuit, il faut assurer un minimum de service, et… ça a un prix !)

En attendant, il reste la liste d’éditeurs à poursuivre, et “l’Envol” à écrire. Après cela… Il va peut-être falloir dégager 10 minutes pour une pause réflexion.