Il faut croire que chaque livre a son histoire. Marqueur 26 est désormais en phase de réécriture, la première, celle qui chez moi resserre le fond. Et le travail s’annonce massif…

Oh ! Telle qu’elle est là l’histoire fait du sens, ce n’est pas le problème, je vous rassure. Mais il se trouve que la réalité rattrape la fiction (dans ce cas précis, j’ajouterai “malheureusement”…) et je me vois donc obligé d’intégrer de nouveaux éléments, ce qui du coup me pousse à développer un peu plus l’aspect sociopolitique de l’histoire. Donc le roman va s’étoffer. Pas au détriment de l’action cependant, puisque le bâti est très dynamique et doit le rester. Je dois donc intégrer des scènes d’action qui serviront à présenter un brin d’éléments supplémentaires sur le contexte des protagonistes.

Une nouvelle preuve, s’il en faut encore, que le travail post “premier jet” est primordial ! Autant je suis coulant sur la partie préparation, autant tout écrivain qui se respecte se doit de passer plus de temps sur son texte après l’avoir écrit plutôt qu’à le coucher sur papier la première fois (rappelez-moi de faire article sur “le premier crâne” pour illustrer ce propos…)