Le meilleur des deux mondes ?
Publié par Kanata le 14 avril 2012Je passe aux aveux
La précédente série d’articles était un pur, long moment de diversion… procrastination classique avant de me lancer dans « L’envol ». Je l’avoue volontiers ; c’est mon comportement classique !
Au moment de « Forfait illimité* », j’avais dépoussiéré ma méthode de conception de romans. Pour « Marqueur 26 », j’avais concocté une série sur les corrections. Pour « L’envol », j’ai revisité ma méthode de conception de scénarios…
C’est que… procrastiner pour ne rien faire, je ne peux pas ! J’ai besoin d’être productif. Donc je me lance toujours dans un projet connexe, certes, mais qui va me servir pour mon VRAI projet (concevoir FI correctement, corriger M26 avec panache…)
Bien sûr, vous me direz : « C’est bien beau, mais le rapport entre concevoir un scénario et te lancer sur ton nouveau manuscrit… c’est tout de même un peu tiré par les cheveux… »
Et en apparence, vous n’auriez pas tort… Cependant, ce serait sans compter sur mon machiavélisme inné. Cette dernière série, outre son intérêt pour les scénaristes, me sert de tremplin pour autre chose…
Et si, entre conception scénaristique et littéraire, il existait un hybride utilisant le meilleur des deux mondes ? C’est ÇA qui me turlupine depuis que je me suis penché sur « L’envol ». Des visions trop graphiques pour un bouquin, une psychologie trop complexe pour un film… Il ne m’en fallait pas plus pour me disperser un temps et suivre cette pente hasardeuse.
Des différences fondamentales Lire la suite de cet article »

Tous les temps indiqués (en bleu) sont purement indicatifs, il n’y a pas vraiment de maximum (du moment que vous évitez la procrastination). Je pars du principe que 1j = 7h et 1s = 35h (mais n’allez pas vous imaginer pour autant que scénariste est un boulot de bureau relax.) Il va de soi que la première fois on prend plus son temps, on cherche ses marques. Par la suite on avance plus vite.


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