Commentaires récents

Prochains concours & AT

Génocide adverbial

Publié par Kanata le 6 mars 2013

94 dans la sciure ! Ça vous apprendra à alourdir mes phrases, bandes d’adverbes à la con !

(Et vous, les participiales… faites pas trop les malignes, parce que demain je m’occupe de votre matricule…)

Je suis un tueur impersonel

Publié par Kanata le 5 mars 2013
On m'appelle Dexter, mais mon deuxième nom c'est "Féroce".

On m’appelle Dexter, mais mon deuxième nom c’est “Féroce”.

Je ne m’appelle pas Dexter – ça c’est plutôt le nom de mon chien –, mais je n’en suis pas moins un tueur impitoyable.

Mes victimes du jour :

– 56 phrases impersonnelles aux débuts mollassons

– 18 imbrications de subordonnées relatives

Ben oui, c’est pas le tout de s’occuper de publications, mais «L’Envol » ne va pas se corriger tout seul 😉

Le troisième jet est donc en cours, dernière ligne droite avant que je ne vous sollicite pour la bêta-lecture…

L’envol – 2e jet terminé !

Publié par Kanata le 26 novembre 2012

Cette fois le deuxième jet est bel et bien terminé !

     1. Relecture complète « one shot » pour voir si l’histoire coule bien (pas vraiment de corrections au sens ortho-typo-grammaticale à ce stade, si ce n’est comme ça en passant) avec annotations et remarques de ce qu’il faut modifier, changer déplacer, rajouter, supprimer… pour ciseler le tout.

     2. Réécriture en suivant les annotations

3. Relecture complète avec nouvelles modifications au fil de l’eau (à ce stade les gros écueils ont été identifiés, on peut se permettre de travailler en direct dans le texte)

Prép. 1e jet 2e jet Tot.
Temps 142 h 255 h 40 h 437 h
Signes 122 470 475 061 482 331 604 801

C’est important… C’est la validation du fond. Le récit est maintenant cohérent et complet. Reste les longues heures de corrections de la forme (et les stats qui vont avec… non parce que si vous pensiez que ce petit tableau de trois lignes était digne de moi, clairement, c’est que vous ne venez pas assez souvent ici…)

L’envol – 2e jet (phase 2)

Publié par Kanata le 24 novembre 2012

Un petit bilan intermédiaire sur la réécriture de l’Envol s’impose. Je viens de finir la seconde passe du second jet. En gros:

     1. Relecture complète « one shot » pour voir si l’histoire coule bien (pas vraiment de corrections au sens ortho-typo-grammaticale à ce stade, si ce n’est comme ça en passant) avec annotations et remarques de ce qu’il faut modifier, changer déplacer, rajouter, supprimer… pour ciseler le tout.

     2. Réécriture en suivant les annotations

3. Relecture complète avec nouvelles modifications au fil de l’eau (à ce stade les gros écueils ont été identifiés, on peut se permettre de travailler en direct dans le texte)

 

Prép. 1e jet 2e jet Tot.
Temps 142 h 255 h 21 h 418 h
Signes 122 470 475 061 478 759 601 229

 

Le deuxième jet n’est donc pas encore terminé, il me reste la phase 3.

Je suis satisfait du résultat. Le fond est un peu plus intimiste que «Marqueur 26 », les enjeux tout aussi importants. Pour le moment, cette phase m’a permis de corriger:

  • Généalogie de la protagoniste
  • Causes de décès différentes pour les mêmes personnages à plusieurs endroits du récit
  • Ajout d’informations pour une meilleure préparation
  • Remontée d’éléments en amont pour éviter du parachutage pour le lecteur
  • Quelques incohérences locales de scènes (ou comment courir pieds nus sur du verre pilé sans se couper…)

En phase 3 je vais lisser le côté romance qui me laisse encore un petit arrière-goût de je ne sais pas trop quoi. On va voir ça la relecture 😉

 

(Pour référence par rapport à ma série d’articles sur les corrections, nous en sommes . )

 

Il y a de la relecture dans l’air

Publié par Kanata le 18 octobre 2012

Première relecture de L’Envol

 

La machine est lancée et bien lancée. Je viens de finir la première relecture de L’Envol, bilan plutôt optimiste.

Je n’ai pas ressenti les écarts de style que j’avais pu identifier sur Marqueur 26 ( dus au démarrage en tant que roman feuilleton et au remaniement en tant que roman classique) qui m’avaient conduit à une longue réécriture.

Pour L’Envol, le deuxième jet sera moins pénible.

Peu, voir pas d’erreurs de cohérence (une grand-mère qui se transforme en grand-tante).

Une scène un poil trop rapide, quelques éléments à amener plus tôt dans l’histoire pour une meilleure compréhension / un meilleur effet.

Bref : du classique pour une réécriture du fond. Sauf gros dérapage, je pressens juste 3 versions.

 

Côté ++ : j’ai réussi à me coller des frissons à la relecture… Sur un thriller qu’on a soi-même écrit et dont on connaît tous les rouages, c’est plutôt bon signe 😉 (dans mon cas c’est très bon signe les frissons devant un bouquin)