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Prochains concours & AT

J-2

Publié par Kanata le 30 octobre 2012

J-2

J-3

Publié par Kanata le 29 octobre 2012

J-3

C’est ballot

Publié par Kanata le 22 octobre 2012

La pause estivale est bien terminée, j’ai reçu mon second retour de la semaine, cette fois-ci en provenance des éditions Balland, qui “ne peuvent pas intégrer mon texte malgré toutes ses qualités”.

Avec la réception de celui de Métaillé, cela fait donc deux copies qui repartent dès demain chez “Le pré aux clercs” et “Lokomodo”. Après ces deux envois, il ne restera plus que deux lignes à mon tableau (“Ex-Aequo” – j’en connais un qui sourit, mais bon, mon tableau à 10 mois – et “Nuits blanches”). Logique, j’avais prévu un an, et on arrive au bout de l’année. Putain, je suis bon avec les prévisions.

Il y a de la relecture dans l’air

Publié par Kanata le 18 octobre 2012

Première relecture de L’Envol

 

La machine est lancée et bien lancée. Je viens de finir la première relecture de L’Envol, bilan plutôt optimiste.

Je n’ai pas ressenti les écarts de style que j’avais pu identifier sur Marqueur 26 ( dus au démarrage en tant que roman feuilleton et au remaniement en tant que roman classique) qui m’avaient conduit à une longue réécriture.

Pour L’Envol, le deuxième jet sera moins pénible.

Peu, voir pas d’erreurs de cohérence (une grand-mère qui se transforme en grand-tante).

Une scène un poil trop rapide, quelques éléments à amener plus tôt dans l’histoire pour une meilleure compréhension / un meilleur effet.

Bref : du classique pour une réécriture du fond. Sauf gros dérapage, je pressens juste 3 versions.

 

Côté ++ : j’ai réussi à me coller des frissons à la relecture… Sur un thriller qu’on a soi-même écrit et dont on connaît tous les rouages, c’est plutôt bon signe 😉 (dans mon cas c’est très bon signe les frissons devant un bouquin)

 

 

 

Mais tailler des textes français pour quoi faire ?

Publié par Kanata le 13 octobre 2012

Un retour de Métailié pour “Forfait illimité*”, ce qui me fait penser : pas une nouvelle depuis juin dernier, avec 10 manuscrits dans la nature… Soit les vacances et la rentrée littéraire mettent les éditeurs à genoux, soit ils brûlent les manuscrits à la Saint-Jean pour repartir à neuf en septembre (j’ai une théorie là-dessus).

En tout cas, quand un éditeur français répond : “Nous publions extrêmement peu de littérature française. Les choix sont donc très serrés.”

Moi, ça me fait quelque chose… Si les éditeurs francophones n’éditent pas de littérature française, qui va le faire ? Vais-je devoir traduire mes textes en anglais, me faire éditer aux US, et faire un deal d’adaptation en France via mon agent ? Ça serait tout de même un poil ironique, non ?