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Les antagonistes aussi

Publié par Kanata le 6 août 2012

Le Front de libération des méchants associés (FLMA) m’a contacté, outré une fois plus qu’il n’y en ait que pour les « héros » dans la présentation des œuvres de fictions. Je suis assez d’accord, c’est injuste. Le rôle de méchant est déjà assez compliqué comme ça, et peu gratifiant… Il est pourtant capital à toute bonne histoire. Donc, en dédicace à tous les méchants brimés : voici ma page « spéciale vilains » de L’Envol.

 

Nom : Colonel Jérôme BEAUCHAMP

Date de naissance : 26/08/1957

Lieu de naissance : Fort-de-France

Nationalité : Française

Profession : Ancien colonel de l’Armée de Terre, mercenaire.

 Fils unique d’une famille fortunée Béké de Fort-de-France, Jérôme Beauchamp ne se plaît pas en Martinique, il cherche de l’action et décide d’entrer dans une école militaire de la métropole.

Il rejoint le CMIDOME (Centre Militaire d’Information et de Documentation sur l’Outre-Mer et l’Étranger) à Versailles.  Mais la marine ne lui convient pas. Après quelques années  il change pour l’armée de Terre et se tourne vers une vie de conflits partout où la France envoie des troupes.

Son parcourt est parsemé de quelques interventions un peu trop musclées aux goûts de ses supérieurs, mais toujours masquées par des actions militaires ou oubliées dans les confins africains. Jusqu’au jour où il massacre tous les habitants d’un village au Soudan. Il est renvoyé de l’armée et se tourne vers le mercenariat.

Le colonel Beauchamp est l’antagoniste principal de « L’Envol ». Mégalomane et en possession d’un secret qui peut bouleverser la face du monde, il est bien décidé à dominer les événements et devenir l’homme le plus puissant de la planète…

 

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¾ climax et ¼ médian

Publié par Kanata le 5 août 2012

75% du premier jet, un climax médian, et 50% du NaNoWriMo, c’est le bilan après 5  jours de NaNo et le retour au boulot demain. Ces chiffres vont forcément baisser avec ce changement de rythme, mais je suis TRÈS confiant pour la date d’octobre que j’avais annoncée pour la fin du 1er jet  :mrgreen:

Voici l’avancement du premier jet de « L’envol » à date :

Récap « L’Envol » – 1er jet
77 chapitres
197 pages (modèle x1,5 interligne)
63 476 mots (dont 27 016 pour le Camp NaNoWriMo août 2012)
376 173 signes (espaces compris)
2 993 paragraphes
6 467 Lignes
202 heures

 

Et pour fêter ça (parce qu’un roman, ce n’est pas non plus QUE des chiffres), voici un résumé plus parlant de ce qu’est “L’Envol” à date :

  • 1 hypernova qui se transforme en trou noir
  • 1 fin de monde paisible (pas le notre donc…)
  • 1 Journaliste introvertie
  • 1 Psychanalyste aguichante
  • 1 flic alcoolique
  • 1 commissaire protectrice
  • 1 tueur sanguinaire
  • 1 entrepôt secret
  • 1 clodo mystique
  • 1 Astronome amateur canadien (parce que, j’ai dis !)
  • 1 hérétique reclu
  • 1 rôdeur mystérieux
  • 1 traître machiavélique
  • 1 camp de Roms
  • 1 agression dans un parc
  • 1 Cosmologue qui détient la vérité
  • 1 scientifique véreux
  • 1 procès pour sorcellerie
  • 1 colonel mégalomane
  • 1 appel anonyme
  • 1 mentor abattu par son disciple
  • 1 colis Fedex
  • 1 secte ancestrale
  • 1 enfant abandonné
  • 1 Linguiste borderline
  • 1 électricien maudit
  • 2 bas-reliefs millénaires
  • 2 romances indéfectibles
  • 2 cobayes humains
  • 3 combustions spontanées
  • 3 violeurs
  • 4 prisonniers inconscients
  • 4 pierres de sagesse
  • 4 faits divers étranges
  • 4 séances d’hypnose
  • 5 mercenaires brutaux
  • 12 bandits massacrés
  • 14 pays traversés
  • 17 jours écoulés (sur un décompte de 21)
  • 30 morceaux de cadavres (approx. je n’ai pas tout compté)
  • 20 000 000 000 km d’ADN (approx. 70 allers-retours Terre / Soleil)

Vous voyez bien qu’un roman ce n’est pas que des chiffres, c’est aussi la façon dont on les arrange 😉

La taille ça compte pas pour du beurre

Publié par Kanata le 4 août 2012

La question est survenue plusieurs fois depuis le début du Camp NaNoWriMo sur les différentes dénominations d’ouvrage en fonction de leur taille. À savoir : une nouvelle c’est combien de mots ? Un novella ? Un roman ?

Les définitions varient, notoirement parce que la nouvelle par exemple, a longtemps été définie comme « une histoire qui peut se lire d’une seule traite ». Problème, il y a un siècle on pouvait passer quatre heures sur un texte sans interruption, de nos jours, avec notre déficit d’attention techno-sapiens, au-delà d’un tweet ou d’un SMS on est perdu… Difficile donc de trancher clairement.

Pour vous donner une idée « objective », je vous résume ci-dessous les chiffres officiels de la guilde des auteurs de science-fiction d’Amérique (SFWA).

Les nombres de mots sont les chiffres d’origine (nos cousins d’outre-Atlantique préfèrent compter en mots). Comme nous autres européens préférons compter en nombre de signes (espaces compris), je vous ai ajouté une colonne qui fait une approximation moyenne (le ratio sur le total de tous mes écrits est de 6,004).

Type

Nb mots

Nb signes (espaces comprises)

Micro nouvelle < 50 < 300
Nouvelle brève 50 < n < 1 000 300 < n < 6 000
Nouvelle 1 000 < n < 7 500 6 000 < n < 45 000
Novelette 7 500 < n < 17 500 45 000 < n < 105 000
Novella 17 500 < n < 40 000 105 000 < n < 240 000
Roman > 40 000 > 240 000

 

À moitié vide ou à moitié plein ?

Publié par Kanata le 1 août 2012

ÉquilibreJe viens d’atteindre le parfait équilibre, à mi chemin dans le plan (50% du nombre de scènes), et pour moi, le 1er jet est définitivement “à moitié plein” :mrgreen:

Voici l’avancement du premier jet de « L’envol » à date :

Récap « L’Envol » – 1er jet
51 chapitres
133 pages (modèle x1,5 interligne)
43 337 mots (dont 7 764 pour le Camp NaNoWriMo août 2012)
258 088 signes (espaces compris)
1 914 paragraphes
4 344 Lignes
145 heures