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L’envol, plan 3 – Atterrissage

Publié par Kanata le 13 mai 2012

« Voilà votre plan aux oeufs, monsieur »

« Heu… j’avais demandé un flan bien carré, mais c’est pas grave, je le prends quand même. »

Hier je n’y croyais pas – mais j’étais un peu sur les rotules, il faut le dire –, mais aujourd’hui ça coulait comme du petit lait. Et puis c’est vrai que les recherches étaient plutôt dans le début et le milieu du récit, du coup la fin s’est mise en place bien plus vite.

Le plan est donc terminé ! YEAH ! 

La suite, bien évidemment, ce sont quelques mois d’écriture pure pour sortir le premier jet. Finalement , c’est bien là l’étape la plus agréable 😉

En général, je bous d’impatience juste après le bouclage d’un plan. Je me fais une grosse journée ciné, je revoie ma playlist pendant une bonne semaine, et je me lance. Cette fois… ça va être un peu différent. Je n’aurai pas l’occasion de me lancer avant la mi-juin (c’est aussi pour cela que je voulais vraiment finir le plan cette semaine). À partir de demain je suis en mode astreinte au boulot, avec des grosses journées – parce que bon, les 12h habituelles, il faut bien le dire, c’est pour les gonzesses ! – et surtout… plus de WE 🙁

Pas grave, je suis content tout pareil !!!!! – D’où la multiplication des points d’exclamation –

Et maintenant – parce que je sais que vous vous moquez, mais au fond de vous, vous aussi vous aimez les petits tableaux et les statistiques –, LE RÉSUMÉ :

– ATTENTION ! Ce qui suit est déconseillé aux jeunes auteurs en herbes, et aux écrivains sensibles sujets aux rechutes de dépressions nerveuses. –

  Conception
Temps 141 h
Signes 118 026 

 

Document de conception de « L’envol »
79 pages (mise en page par défaut Word)
18 982 mots
118 026 signes (espaces compris)
2 253 paragraphes
7 646 Lignes
100 en-têtes de « scènes » (chapitres)

 
Et là… Il n’y encore rien « d’écrit »… (enfin à part l’ancien prologue et la première scène, qui datent du tout début du projet, mais ne sont pas inclus dans ces tableaux et sont à revoir complètement désormais). Par contre tout ce temps englobe les 9 premières étapes propres à ma nouvelle méthode «hybride », et une grande partie des recherches (qui sont en général nécessaires pour pondre le plan).

L’envol, plan 2 – Stabilisation

Publié par Kanata le 12 mai 2012

Je vous sers un petit climax médian bien frappé ?

Après 132h et 105 869 caractères (de documents de conception), c’est possible… Enfin… je ne sais pas s’il est frappé, mais il est brûlant, ça, c’est certain ! 😈

Ça nous amène à 73 en-têtes de chapitres, plus de la moitié du tout donc. J’ai bon espoir de finir le plan de la seconde partie ce week-end, par contre… pas la troisième. Et malheureusement, mon emploi du temps va considérablement se corser à partir de la semaine prochaine… 😥

Je voulais finir le plan ce WE et amorcer l’écriture au retour de mes obligations à la mi-juin, mais je crois que ce sera un peu décalé. Je verrais si je peux au moins finir le plan dans le courant du mois, touche par touche, de manière à démarrer tout frais en juin en pur mode écriture.

L’envol, plan 1 – Décollage

Publié par Kanata le 8 mai 2012

Le week-end s’achève sur une excellente note : un peu plus de la première partie couchée sur plan, soit 43 en-têtes de chapitres. Et tout ça pour la modique somme de 118h et 95 845 caractères (de documents de conception).

Ce qui fut le prologue jusqu’à maintenant se retrouve propulsé au chapitre 22, et mon ancien début commence désormais au chapitre 9. Le fil se tend, l’intrigue se corse, je vais jouer avec vos nerfs 😉

Marqueur 26 – Le plan

Publié par Kanata le 29 mars 2011

Si l’image ci-contre ne vous dira rien – même en l’agrandissant bande de malins – elle n’en reste pas moins importante. C’est le fruit de semaines de travail, l’aboutissement de recherches, de développement de personnages, de pistes, de synopsis divers et variés.

C’est : LE PLAN ! Un découpage par scène – oui, j’ai gardé un côté très scénaristique dans mon travail d’écriture, même pour les romans – de l’histoire. Dans ce cas précis, c’est le plan de « Marqueur 26 ».

Un jalon important, capital même pour moi, car c’est lui qui ouvre la phase la plus viscérale : l’écriture !

Oui, ça y est, je n’ai plus qu’à écrire. Car si vous pensiez que l’écriture était la principale activité dans la création d’un roman… Vous vous trompiez lourdement 😉 Je croyais cela moi aussi, il y a… bon, disons juste « bien longtemps ». De fait, dans mon cas, la phase d’écriture représente entre 10 et 20% maximum, dépendant du sujet.

Imaginez cela comme une participation à un marathon. Le coureur ne passe pas le plus clair de son temps à faire le marathon… Il le passe à s’entraîner, se préparer, se conditionner, surveiller son alimentation et se soigner après la course (ce n’est pas un certain Serge qui me dirait le contraire). Pareil pour un roman, en tout cas pour moi.

Mais le but de cet article n’est pas de vous faire un topo sur ma méthode d’écriture – qui pourrait se faire en une série de futurs articles, tient, pourquoi pas si ça en intéressent certains ? —, mais plutôt de vous annoncer donc officiellement la reprise de « Marqueur 26 ».

Reprise, car « Marqueur 26 » a eu des débuts très particuliers, sous forme de roman-feuilleton, avec une structure minimale, une histoire écrite au fur et à mesure, à mille lieux de « Forfait illimité* » par exemple. Vous voyez la première grosse ligne bleue sur l’image ? C’est là où la publication des épisodes s’est arrêtée. Soit environ un quart du récit total. Comme quoi il vous en reste encore beaucoup à apprendre sur Alexandra et les mystérieux Naturalis. Quant à moi ; je sais tout d’eux désormais, laisser moi vous raconter leur histoire…